Sortie Ile de France - Normandie 24 juin 2017
Pour cette édition 2017 des sorties de l’Amicale 504 (Ile de France), nous avions choisi d’ouvrir les frontières et de nous réunir avec nos amis Normands. Rendez-vous fût pris pour le samedi 24 juin. (aucune coïncidence avec le Jour le plus long, La Normandie, le Débarquement
!)
Ce furent pas moins de 14 équipages qui ont convergé vers notre point de rencontre commun, situé en boucle de Seine, non loin de Rouen, à la Bouille.!)
Le départ eut lieu à 8h50 à Garches pour les Parisiens, et nous devions retrouver d’autres amis à Thoiry, devant le parc du château, pour 9h30.
Bien sûr, l’autoroute était bannie de la feuille de route qui fût distribuée aux navigateurs. Les routes secondaires, suivant la vallée de l’Eure ayant un charme qui sied mieux à nos autos.
Le panel de nos 504 était en grande majorité représenté par les cabriolets. Série 1 et 2. Un cabriolet V6 était de sortie, et seulement 2 coupés (un 4 cylindres, et un V6) étaient de sortie. Une Morgan, une 604, et un coupé 406 complétaient ce cheptel.
Nous sommes partis
un peu vite selon certains, très, voire trop scrupuleux envers les limitations de vitesse) Je dois donc ronger mon frein (au sens propre) et mettre un œuf sous le pied. Mon 4 cylindres serait-il plus fougueux qu’un V6 ? Voire
Omis également, sur la feuille de route ; l’arrêt obligatoire et salvateur, que chacun connait dans un endroit « propice »
Merci Jean !.
La traversée de Louviers, ainsi, et surtout celle de Elbeuf nous donnera quelques difficultés pour nous suivre
d’où l’importance de rester groupés. Et c’est un peu éparpillés « façon puzzle » que nous rejoignons notre halte pique-nique en bord de Seine. Déjà quelques Normands avaient investi les lieux.
Nous faisons, connaissance, nous fêtons des retrouvailles ; c’est selon
Mais autour d’un bon apéritif ! Crémant d’Alsace, accompagné d’une crème de mure. Le tout à température idoine. Beau temps, bel environnement, de belles autos, des convives
conviviaux
Que demander de plus ?Nous trinquons à l’Amicale,au plaisir de se retrouver avec nos autos et à notre amitié.
Et c’est autour d’un pique-nique, un peu typé « auberge Espagnole » que nous allons nous rassasier après ces quelques 130 kms. Les conversations vont bon train, les rires fusent
d’autres chantent
Pas vrai Serge ?
Mais nous arrivons à 14h30, et il est temps de plier bagage et prendre la route vers le but de cette escapade. Le Musée Industriel de la Corderie Vallois, situé à Notre Dame de Bondeville, non loin de Rouen.
Cette route fut une découverte pour certains (es) d’entre nous à la prise du Bac traversant la Seine à Duclair. Petit intermède fluvial pittoresque bien agréable. (n’est-ce pas, Christelle ?) En raison de l’importance de notre convoi, nous avons dû faire 2 tournées. Et nous arrivons sur le site du Musée. Non sans quelques problèmes pour certains. Problèmes inhérents à la densité de la circulation, et à la complexité de l’agglomération. Néanmoins, nous sommes à l’heure !
La visite peut commencer.
« Le musée industriel de la corderie Vallois est un musée situé dans une ancienne corderie du XIXe siècle de la vallée du Cailly à Notre-Dame-de-Bondeville (Seine-Maritime). Il a le label Musée de France. Le fondateur de l'usine, Jules Vallois, qui était cordier à Saint-Martin-du-Vivier, dut changer d'usine à la suite du captage du Robec, le cours d'eau local, pour alimenter la ville de Rouen. D'abord locataire de la propriété Rondeau, il en devient propriétaire. En 1880, la filature disparaît, remplacée par une corderie mécanique. Jules Vallois installe dans le bâtiment des machines anglaises et françaises. Ces anciennes machines sont actionnées encore aujourd'hui par une roue hydraulique ».
Une bonne heure de visite, étayée par les commentaires précis de notre guide, et animés par la mise en service de la roue à aube, des courroies, des machines, des toronneuses, des bobineuses
dans un vacarme réel mais Ô combien joussif et original. Nous sommes ressortis de ce musée émerveillés avec des pépites dans les yeux.
Il est aux environs de 17h30
Il est hélas l’heure des au-revoir. Les Normands rentrent chez eux, les Franciliens regagnent leurs foyers, soit, par les petites routes, doit plus directement
Et quelques-uns d’entre nous choisissent de profiter du soleil, et de terminer ce weekend en Normandie. Rouen ou la Côte).
Ce fût une belle journée, empreinte de bonne humeur, de joie, et de quiétude. Idéal pour oublier les turpitudes de la vie quotidienne. A bientôt pour la prochaine.
Alain HOCHE